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"Totalitarisme et novlangue" dans la revue littéraire "L'Atelier du Roman"

Dernière mise à jour : 29 sept.

Découvrez l'article d'Ariane Bilheran "Totalitarisme et novlangue – Déconstruction et reconstruction de la langue" dans la revue littéraire trimestrielle L'Atelier du Roman n°118.


Synopsis du numéro


En absence des principaux intéressés, les écrivains, le langage dit inclusif se répand partout. De l’université au commerce et de l’administration à la publicité, rien n’est épargné. En absence des écrivains, à savoir de ceux dont la parole en la matière fait, a priori, autorité, on essaie d’imposer à l’ensemble de la société une conception de la langue étrangère à tout savoir établi et approuvé, et d’inventer des applications oscillant entre l’absurde et le ridicule. Il est urgent d’en discuter; c’est notre devoir. La langue est notre maison et le trésor que nous ont légué les générations qui nous ont précédé. De tous les sujets qui doivent faire débat dans toutes les couches de la population, celui du langage dit inclusif est d’une priorité absolue. Il va de la survie de notre société.


Et puis, nous parlons aussi des œuvres romanesques importantes (Kundera, Wallace) et, dans nos chroniques, cosmopolitisme oblige, nous survolons le monde de Los Angeles à Varsovie en passant par Montréal et le Cameroun.




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