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Le sexe n'est pas un jeu d'enfants

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Ariane Bilheran, Régis Brunod
Le sexe n'est pas un jeu d'enfants

Après un rappel étymologique, philosophique, anthropologique et psychologique des mots «amour» et «sexualité», Ariane Bilheran et Régis Brunod, aux antipodes de la politique menée par l'OMS concernant une supposée «sexualité infantile», rappellent que la sexualité ne peut être dissociée du développement psychique, cognitif et affectif de l’être humain, pas plus que de sa maturation physique. Ils exposent la psychologie et la biologie du développement de l'enfant avec, notamment, ses particularités et toutes les étapes de son développement psychoaffectif. Ils tirent au clair les multiples confusions concernant la sexualité et l’enfance: non, il n'y a pas de sexualité chez l’enfant – la découverte du corps n’est pas sexuelle –, insistent sur les nombreuses entorses au Droit pénal, reviennent sur l’histoire et les origines de l’idéologie de l’enfant «sexualisé», ainsi que sur tous les amalgames pervers de l'idéologie actuelle dominante.

Même si l'envie de grandir est très présente chez les enfants, – le vouloir faire «comme les grands» est un puissant moteur du développement –, elle a besoin d’être accompagnée par des repères, une sécurité et une contenance qui sont les fonctions de l’adulte.

Découvrez dans cet ouvrage des pistes d’aides au développement psychique pendant l'enfance et l'adolescence, ainsi que des mesures de prévention. Car un milieu affectif et sécurisant respectant le rythme de développement propre à chaque enfant constitue le socle sur lequel cet enfant s'appuiera dans sa vie future d'adulte, afin de découvrir la vie amoureuse dans des conditions optimales, au moment opportun.

RECENSION




AVIS DES LECTEURS


«Le savoir faire et dire de ces deux cliniciens de la protection de l'enfance, Ariane Bilheran et Régis Brunod sont une référence incontournable. Je le recommande vivement.»


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«Rédigé par deux experts, Régis Brunod, pédiatre et pédopsychiatre, et Ariane Bilheran, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie, cet ouvrage repose sur des bases solides et des analyses rigoureuses. Pourquoi ce livre? Parce qu’en Europe, une nouvelle "éducation sexuelle" émerge, fondée sur un texte controversé de l’OMS ("Standards pour l'éducation sexuelle en Europe", 2008), qui affirme que les enfants ont une sexualité dès la naissance et qu’ils doivent recevoir une "éducation sexuelle" dès 0 an, incluant l’apprentissage de la masturbation infantile. Les auteurs démontrent que ces propositions n’ont aucun fondement scientifique. Bien que le sigle de l’OMS prête du crédit à cette idéologie, ses recommandations sont problématiques. Le premier chapitre aborde le développement de l'enfant et la notion de prérequis biologiques et psychologiques. Ainsi, un nouveau-né, même s'il a un sexe, n'a pas de sexualité (l'organe génital ne sert qu'à l'évacuation des urines), tout comme il ne parle pas ou ne marche pas simplement parce qu'il a une bouche ou des jambes. Le deuxième remonte à l'origine de la notion de "sexualité de l’enfant". Aucune observation ne la montre (sauf sexualisation suite à un abus), le plaisir de l'enfant à la découverte de son corps est sensoriel, non sexuel. Selon Freud, les pulsions enfantines sont d'une autre nature que les pulsions sexuelles adulte, amenant simplement l'enfant à s'interroger sur lui-même et ses origines. Les sources de l'OMS proviennent en fait de SIECUS créé par l'Institut Kinsey, pour promouvoir une "éducation sexuelle". Kinsey, entomologiste, prétend prouver l'existence d’une sexualité infantile en interprétant les manifestations de douleurs résultant des viols de jeunes enfants comme étant des orgasmes. Le troisième rappelle le besoin de protection de l’enfant, tel qu’établi par la Convention Internationale des Droits de l'Enfant. La protection doit primer sur l'autonomie, qui se développe progressivement avec l'âge. Le quatrième explore l’accompagnement de l'enfant dans son développement. Avant l'adolescence l’enfant n’est pas en mesure de recevoir des informations explicites sur la sexualité, une prévention ne doit pas perturber son imaginaire. En résumé, l’enfant n’est pas un mini-adulte. Il n'a pas de sexualité avant la puberté et ne nécessite donc pas d'"éducation sexuelle". Le sexe n’est pas un jeu d’enfant (CQFD).»


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«À lire, c'est primordial!

Pour mieux comprendre et préserver le bien-être des enfants, de vos enfants.»


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«EXCELLENT

Très heureuse de m'être procurée ce livre. Contenu très important.»


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«Un livre indispensable pour les parents et enseignants.

Un livre indispensable pour les parents, enseignants et éducateurs. Rédigé par deux experts, Régis Brunot, pédiatre et pédopsychiatre, et Ariane Bilheran, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie, cet ouvrage repose sur des bases solides et des analyses rigoureuses. Pourquoi ce livre? Parce qu'en Europe, une nouvelle "éducation sexuelle" émerge, fondée sur un texte controversé de l’OMS ('Standards pour l’éducation sexuelle en Europe', 2008), qui affirme que les enfants ont une sexualité dès la naissance et qu'ils doivent recevoir une "éducation sexuelle" dès 0 an, incluant l'apprentissage de la masturbation infantile. Les auteurs démontrent que ces propositions n'ont aucun fondement scientifique. Bien que le sigle de l'OMS prête du crédit à cette idéologie, ses recommandations sont problématiques.»


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«Le premier chapitre aborde le développement de l’enfant et la notion de prérequis biologiques et psychologiques. Ainsi, un nouveau-né, même s'il a un sexe, n'a pas de sexualité (l’organe génital ne sert qu'à l'évacuation des urines), tout comme il ne parle pas ou ne marche pas simplement parce qu’il a une bouche ou des jambes. Le deuxième remonte à l’origine de la notion de "sexualité de l’enfant". Aucune observation ne la montre (sauf sexualisation suite à un abus), le plaisir de l’enfant à la découverte de son corps est sensoriel, non sexuel. Selon Freud, les pulsions enfantines sont d'une autre nature que les pulsions sexuelles adulte, amenant simplement l’enfant à s’interroger sur lui-même et ses origines. Les sources de l'OMS proviennent en fait de SIECUS créé par l'Institut Kinsey, pour promouvoir une "éducation sexuelle". Kinsey, entomologiste, prétend prouver l’existence d’une sexualité infantile en interprétant les manifestations de douleurs résultant des viols de jeunes enfants comme étant des orgasmes. Le troisième rappelle le besoin de protection de l’enfant, tel qu'établi par la Convention Internationale des Droits de l'Enfant. La protection doit primer sur l’autonomie, qui se développe progressivement avec l’âge. Le dernier chapitre explore l’accompagnement de l’enfant dans son développement. Avant l'adolescence il n’est pas en mesure de recevoir des informations explicites sur la sexualité, ni d'exercer un consentement (sur ce dont il ne peut concevoir), une prévention doit se faire dans une optique plus large sans perturber son imaginaire.


En résumé, l'enfant n’est pas un mini-adulte. Il n'a pas de sexualité avant la puberté et ne nécessite donc pas d'"éducation sexuelle". Le sexe n'est pas un jeu d’enfant (CQFD).»

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